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Islam & Société Civile

Maladresses et perversité au pays des Islamikazes

Démystifier pour lutter efficacement contre les islamistes

Deux chercheurs américains, Daniel Byman et Christine Fair, avancent une thèse assez inhabituelle dans un article publié dans le célèbre magazine culturel américain The Atlantic, du mois de juillet-août. Les terroristes islamistes, souvent représentés dans l’inconscient collectif comme étant de pieux soldats organisés autour d’une cause commune, la guerre sainte, seraient en fait, aux dires des deux scientifiques, bien loin d’être aussi bien structurés que l’image qu’ils véhiculent, rapporte Afrik.com.
Crétins doublés de pervers et capables de faire échouer les opérations les plus simples. Tel est le portrait peu reluisant que dressent des terroristes islamistes les chercheurs américains Daniel Byman et Christine Fair, membres du Centre des études sur la paix et la sécurité (CPASS) de l’université de Georgetown, publiée dans le célèbre magazine culturel américain The Atlantic du mois de juillet-août.
Mohammed Atta, l’Egyptien tacticien dans les attentats du 11-Septembre, incarnerait à merveille, selon les chercheurs, l’image d’hommes entraînés et organisés, que le monde entier se fait des terroristes d’Al-Qaida. Malheureusement, ses collègues terroristes islamistes qui lui ont succédé ne lui arriveraient pas à la cheville. « Le fossé entre le sinistre stéréotype et la ridicule réalité n’est nulle part plus profond qu’en Afghanistan, où il est juste d’affirmer que les Talibans emploient les plus mauvais kamikazes du monde : un sur deux parvient à ne tuer que lui-même », indiquent les scientifiques. Beaucoup d’entre eux ne parviennent pas à quitter leur camp d’entraînement, qui accueille des djihadistes du monde entier. La raison ? « En Afghanistan, comme dans de nombreuses cultures, la tradition veut que les combattants échangent une accolade virile avant de partir au combat. Ainsi, de nombreux kamikazes ne franchissent même pas les portes de leurs camps (ou de leurs planques) : ces étreintes de groupe actionnent les détonateurs de leurs ceintures d’explosifs », explique-t-ils. Et lorsqu’ils arrivent à sortir vivants de leurs camps d’entraînement, ceux-ci commettraient souvent des erreurs stupides qui font échouer les opérations les plus simples.[…] Lire le suite sur Afrik.com

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