
Critiques envers l'islam, ses promoteurs prônent une séparation claire entre Etat et religion
Belga 13 Mars 2009 | Organisé sous forme d’association, le Conseil des ex-musulmans dénonce un islam politique qui exploite le système séculier des pays occidentaux, a indiqué vendredi l’une des fondatrices du Conseil international des ex-musulmans, Mina Ahadi. De nombreux thèmes controversés, comme le port du voile ou l’application de la charia, sont souvent évités sous prétexte de respect de la multiculturalité, a-t-elle ajouté.
L’une des revendications du conseil est que l’apostasie, soit l’abandon d’une religion, en l’occurence l’islam, soit reconnu comme motif d’asile. Et les ex-musulmans de souligner que dans certains pays, quitter l’islam est punissable d’une peine de mort.
La première association d’anciens musulmans a été créée en Allemagne en janvier 2007 [photo]. Des organisations similaires existent en Scandinavie, en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas. En Suisse, le conseil compte 21 membres, dont 19 Iraniens et 2 Turcs.
s’est rassurant de voir que certains ont les idées claires.
Tout n’est peut etre pas perdu, mais… je craint qu’un beau jour il faudra se battre pour faire RESPECTER la laicité dans notre pays.
Bon courage à vous tous.