
C’est dans une haute pyramide de verre, appelée « Pyramide de la paix », que le Kazakhstan a convié une centaine de responsables religieux
Le Kazakhstan a convié une quinzaine de délégations internationales représentant l’islam, le christianisme, le judaïsme, le bouddhisme, l’hindouisme ou encore le shintoïsme et le zoroastrisme. Ce « congrès des responsables des religions mondiales et traditionnelles » convoqué par le président Nazarbaev est le troisième du genre : les deux précédents, en 2003 et 2006, avaient déjà rassemblé une centaine de représentants religieux de haut niveau pour débattre des valeurs universelles et de l’implication des croyants dans l’amélioration du monde, souligne La Croix. Et d’ajouter: « Quand le président israélien a pris la parole, la délégation iranienne conduite par Mehdi Mostafavi, conseiller du président Ahmadinejad, est sortie de la salle. « Dès que l’on entre en dialogue avec des musulmans et des juifs, on constate que notre séparation habituelle entre le temporel et le spirituel n’est pas évidente pour eux », expliquera plus tard le cardinal Jean-Louis Tauran, à La Croix [ndlr, président du conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, ancien responsable de la diplomatie de Jean-Paul II et qui a accompagné Benoît XVI comme responsable du dialogue interreligieux]. Le président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux a retenu l’attention par la profondeur de ses deux interventions, sur « la paix, don de Dieu et fruit de la coopération des hommes » et sur « les valeurs communes à toute la famille humaine ». » Lire l’intégralité de l’article (La Croix)
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